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Pourquoi jouer collectif est difficile en période de crise ?




26/09/2025



Quand les temps sont durs, plusieurs mécanismes psychologiques et organisationnels viennent fragiliser la cohésion :

  1. La peur et l’incertitude
    • Chacun protège son périmètre, ses intérêts, sa sécurité.
    • L’instinct de survie renforce l’individualisme au détriment du collectif.
  2. La pression qui accroît les tensions
    • Le stress, la fatigue et la peur de l’échec alimentent irritabilité et conflits.
    • La confiance mutuelle s’érode et les malentendus se multiplient.
  3. La perte de sens
    • Quand la vision commune s’efface, chacun tire dans une direction différente.
    • L’énergie collective se disperse au lieu de converger.
  4. La recherche de boucs émissaires
    • La difficulté pousse à désigner des responsables plutôt qu’à chercher des solutions.
    • Cela fragmente le groupe et crée des clivages.

 En résumé : quand la pression monte, l’individu reprend souvent le dessus sur le collectif, sauf si un cadre de confiance, de solidarité et de sens commun est entretenu.


Le pouvoir du collectif en temps de crise

Quand l’incertitude grandit, la tentation est de se replier sur soi. Mais c’est justement dans ces instants que l’unité devient essentielle.

  • Seul, on s’épuise.
  • Ensemble, on surmonte, on invente, on rebondit.

Le collectif ne fait pas disparaître les difficultés, il les rend traversables. Il transforme :

  • la peur en confiance,
  • l’isolement en solidarité,
  • la dispersion en énergie partagée.

Jouer collectif quand tout va bien est naturel. Jouer collectif quand c’est dur, c’est ce qui fait la différence entre ceux qui résistent et ceux qui s’effondrent.

C’est dans les situations difficiles que les liens solides se créent à jamais.

 

Quand les temps sont durs, plusieurs mécanismes psychologiques et organisationnels viennent fragiliser la cohésion :

1. La peur et l’incertitude
Chacun protège son périmètre, ses intérêts, sa sécurité.
➡️ L’instinct de survie renforce l’individualisme au détriment du collectif.

2. La pression qui accroît les tensions
Le stress, la fatigue et la peur de l’échec alimentent irritabilité et conflits.
➡️ La confiance mutuelle s’érode et les malentendus se multiplient.

3. La perte de sens
Quand la vision commune s’efface, chacun tire dans une direction différente.
➡️ L’énergie collective se disperse au lieu de converger.

4. La recherche de boucs émissaires
La difficulté pousse à désigner des responsables plutôt qu’à chercher des solutions.
➡️ Cela fragmente le groupe et crée des clivages.

En résumé : quand la pression monte, l’individuel reprend souvent le dessus sur le collectif. Quand l’incertitude grandit, la tentation est de se replier sur soi. Mais c’est justement dans ces instants que l’unité devient essentielle.
Seul, on s’épuise.
 Ensemble, on surmonte, on invente, on rebondit.

Le collectif ne fait pas disparaître les difficultés, il les rend traversables. Il transforme :
✨ La peur en confiance
✨ L’isolement en solidarité,
✨ La dispersion en énergie partagée.
Jouer collectif quand tout va bien est naturel. Jouer collectif quand c’est dur, c’est ce qui fait la différence entre ceux qui résistent et ceux qui s’effondrent.
 "C’est dans les situations difficiles que les liens solides se créent à jamais !"






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